Les Néphilims
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Les Néphilims
par Anaska Lun 15 Fév - 18:54
Les Néphilims pour les bibliques sont des géants grossiers et mauvais, hostiles à l'Humanité, et peu enclins à la clémence. Ils sont des sortes de démons, de monstres. Ceci est faux.
Mais là encore, faisons preuve de bon sens.
Tout d'abord, la race des Néphilims de laquelle est issu Enki provient d'une planète que l'on appelle aujourd'hui Nibiru. Les Néphilims sont des dieux pour nous car leurs connaissances et leurs dons psychiques sont absolument stupéfiants. Ils sont la dynastie régnante de Nibiru. Le peuple qui vit sous l'autorité des Néphilims est les Annunakis. Les Annunakis sont des dieux secondaires aux ordres des Nephilims.
Voici leur hiérarchie, très simplifiée.
Les Néphilims ne sont pas des reptiliens mais des êtres de grande taille, très blonds, ce qui leur vaut d'ailleurs le surnom de Nordics. Mais ils n'ont rien à voir avec les Vikings ou les Germaniques humains.
Chez les Néphilims et Annunakis se trouvaient des Enkistes, favorables aux humains, qui les aimaient et avaient pris pour femmes ou maris des humains.
Et d'autres qui détestaient notre race parce que trop difficile et complexe à gérer.
Enki a pris notre parti contre son camp. Il est donc devenu le traître, le méchant. Il fut chassé, exilé et maudit par sa propre famille durant un temps. La réconciliation vint bien plus tard.
Et toute notre histoire découle de cette période.
[/size]D'ailleurs, ces images que l'on voit fleurir partout de petits lézards debout sur leur pattes arrières avec pour légende, "voilà Ea" est si stupide que cela en devient blasphématoire.
C'est simplement une question de bon sens :
Comment peut-on être à la fois un Dieu immense, un géant, un Nordic, un Nephilim et une petite entité, avec des yeux épouvantables et de petits membres ?
Zécharia Sitchin, fort logique en bon scientifique, ne considère en rien, les Néphilims comme des reptiliens. De plus, il rejette l'idée biblique des Néphilims.
Pour Sitchin, les Néphilims sont "le peuple des fusées de feu". Il y a près de 500 000 ans, ils atterrirent sur Terre et devinrent des Dieux bâtisseurs. Enki fut envoyé sur Terre par son père Anu en mission.
Parce qu'il était un grand savant, un grand architecte, un génie hors du commun, déjà sur sa propre planète.
Les Néphilims ont été associés à des reptiles sans doute à cause de l'interprétation erronée de leurs "costumes".
Ils portent souvent des casques, de drôles d'objets dans leurs mains, comme page 144 de "la 12e planète - Z. Sitchin - editions Courteau". Ces tenues rappellent celles d'astronautes plutôt que de lézards en vadrouille. Leur représentation est schématique, réduite.
De plus, dans les premières traductions des tablettes sumériennes, comme dans les premières traductions de la Bible, des incohérences ou des incompréhensions se répétaient de génération en génération. Notamment, nous explique Zécharia Sitchin concernant le terme "shem".
Ce terme, traduit correctement, éclaire la venue des Nephilims sur Terre, le don de la connaissance par Enki à l'homme et le courroux "des dieux" contre l'homme et surtout Enki.
Je cite Zecharia Sitchin, page 158 et 159 de la 12e planète : (les phrases en gras sont de mon fait).
"Les traducteurs de la Bible s'obstinèrent à employer le mot "nom" chaque fois qu'apparaît le mot "shem" en dépit d'une étude très poussée publiée il y a plus d'un siècle par G.M. Redslob (dans Zeitschrift der deuschen Morgenlandischen Gesellschaft) dans laquelle il fait remarquer avec raison que le terme "shem" et le terme "shamain (le ciel) viennent du mot racine "shamah" signifiant "ce qui est vers le haut".
Où, dans l'Ancien Testament, il est dit que le roi David "fit un shem" pour marquer sa victoire sur les Araméens, Reslob dit, il ne "fit pas un nom" mais érigea un monument qui pointait vers le ciel.
Une fois compris que "mu" et "shem" devraient être traduits dans les textes mésopotamiens non pas par "nom" mais par "véhicule spatial", on commence à comprendre le vrai sens de nombreux récis anciens, en particulièr l'histoire de la tour de Babel.
Au chapitre 11 de la Genèse, il est question des tentatives humaines pour élever un "shem". Le compte rendu de la Bible est écrit dans une langue concise et précise qui tend à prouver la vérité historique de ce fait. Or, des générations d'érudits et de traducteur n'ont cherché à donner au texte qu'un sens allégorique car -tel qu'ils le comprenaient-, il s'agissait du désir de l'humanité de se "faire un nom" pour elle-même. Une telle approche vidait le texte de son vrai contenu. Notre conclusion quant au vrai sens de shem restitue au texte tout le sens qu'il devait avoir pour les peuples de l'antiquité eux-mêmes.
Le récit biblique de la tour de Babel traite d'événements qui suivirent la repopulation de la Terre après le déluge, quand certains hommes "partis de l'est trouvèrent une plaine dans le pays de Shinéar et s'y établirent".
Le pays de Shinéar est, bien entendu, le pays de Sumer dans la plaine entre les deux fleuves en Mésopotamie du Sud. Et ce peuple qui connaissait déjà l'art de faire des briques et de construire de haut bâtiments, nécessaire à une civilisation urbaine, déclara :
Mais ce projet humain ne fut pas du goût du Seigneur (Enlil) :
Et le Seigneur dit -à quelques collègues dont l'Ancien Testament ne révèle pas les noms :
Mais là encore, faisons preuve de bon sens.
Tout d'abord, la race des Néphilims de laquelle est issu Enki provient d'une planète que l'on appelle aujourd'hui Nibiru. Les Néphilims sont des dieux pour nous car leurs connaissances et leurs dons psychiques sont absolument stupéfiants. Ils sont la dynastie régnante de Nibiru. Le peuple qui vit sous l'autorité des Néphilims est les Annunakis. Les Annunakis sont des dieux secondaires aux ordres des Nephilims.
Voici leur hiérarchie, très simplifiée.
Les Néphilims ne sont pas des reptiliens mais des êtres de grande taille, très blonds, ce qui leur vaut d'ailleurs le surnom de Nordics. Mais ils n'ont rien à voir avec les Vikings ou les Germaniques humains.Chez les Néphilims et Annunakis se trouvaient des Enkistes, favorables aux humains, qui les aimaient et avaient pris pour femmes ou maris des humains.
Et d'autres qui détestaient notre race parce que trop difficile et complexe à gérer.
Enki a pris notre parti contre son camp. Il est donc devenu le traître, le méchant. Il fut chassé, exilé et maudit par sa propre famille durant un temps. La réconciliation vint bien plus tard.
Et toute notre histoire découle de cette période.
[/size]D'ailleurs, ces images que l'on voit fleurir partout de petits lézards debout sur leur pattes arrières avec pour légende, "voilà Ea" est si stupide que cela en devient blasphématoire.
C'est simplement une question de bon sens :
Comment peut-on être à la fois un Dieu immense, un géant, un Nordic, un Nephilim et une petite entité, avec des yeux épouvantables et de petits membres ?
Zécharia Sitchin, fort logique en bon scientifique, ne considère en rien, les Néphilims comme des reptiliens. De plus, il rejette l'idée biblique des Néphilims.
Pour Sitchin, les Néphilims sont "le peuple des fusées de feu". Il y a près de 500 000 ans, ils atterrirent sur Terre et devinrent des Dieux bâtisseurs. Enki fut envoyé sur Terre par son père Anu en mission.
Parce qu'il était un grand savant, un grand architecte, un génie hors du commun, déjà sur sa propre planète.
Les Néphilims ont été associés à des reptiles sans doute à cause de l'interprétation erronée de leurs "costumes".
Ils portent souvent des casques, de drôles d'objets dans leurs mains, comme page 144 de "la 12e planète - Z. Sitchin - editions Courteau". Ces tenues rappellent celles d'astronautes plutôt que de lézards en vadrouille. Leur représentation est schématique, réduite.
De plus, dans les premières traductions des tablettes sumériennes, comme dans les premières traductions de la Bible, des incohérences ou des incompréhensions se répétaient de génération en génération. Notamment, nous explique Zécharia Sitchin concernant le terme "shem".Ce terme, traduit correctement, éclaire la venue des Nephilims sur Terre, le don de la connaissance par Enki à l'homme et le courroux "des dieux" contre l'homme et surtout Enki.
Je cite Zecharia Sitchin, page 158 et 159 de la 12e planète : (les phrases en gras sont de mon fait).
"Les traducteurs de la Bible s'obstinèrent à employer le mot "nom" chaque fois qu'apparaît le mot "shem" en dépit d'une étude très poussée publiée il y a plus d'un siècle par G.M. Redslob (dans Zeitschrift der deuschen Morgenlandischen Gesellschaft) dans laquelle il fait remarquer avec raison que le terme "shem" et le terme "shamain (le ciel) viennent du mot racine "shamah" signifiant "ce qui est vers le haut".
Où, dans l'Ancien Testament, il est dit que le roi David "fit un shem" pour marquer sa victoire sur les Araméens, Reslob dit, il ne "fit pas un nom" mais érigea un monument qui pointait vers le ciel.
Une fois compris que "mu" et "shem" devraient être traduits dans les textes mésopotamiens non pas par "nom" mais par "véhicule spatial", on commence à comprendre le vrai sens de nombreux récis anciens, en particulièr l'histoire de la tour de Babel.
Au chapitre 11 de la Genèse, il est question des tentatives humaines pour élever un "shem". Le compte rendu de la Bible est écrit dans une langue concise et précise qui tend à prouver la vérité historique de ce fait. Or, des générations d'érudits et de traducteur n'ont cherché à donner au texte qu'un sens allégorique car -tel qu'ils le comprenaient-, il s'agissait du désir de l'humanité de se "faire un nom" pour elle-même. Une telle approche vidait le texte de son vrai contenu. Notre conclusion quant au vrai sens de shem restitue au texte tout le sens qu'il devait avoir pour les peuples de l'antiquité eux-mêmes.
Le récit biblique de la tour de Babel traite d'événements qui suivirent la repopulation de la Terre après le déluge, quand certains hommes "partis de l'est trouvèrent une plaine dans le pays de Shinéar et s'y établirent".
Le pays de Shinéar est, bien entendu, le pays de Sumer dans la plaine entre les deux fleuves en Mésopotamie du Sud. Et ce peuple qui connaissait déjà l'art de faire des briques et de construire de haut bâtiments, nécessaire à une civilisation urbaine, déclara :
"Laisse-nous construire une ville,
et une tour dont le sommet touche les cieux ;
et laisse-nous faire un shem
sinon nous serons dispersés sur la surface de la Terre".
et une tour dont le sommet touche les cieux ;
et laisse-nous faire un shem
sinon nous serons dispersés sur la surface de la Terre".
Mais ce projet humain ne fut pas du goût du Seigneur (Enlil) :
"Et le Seigneur descendit
pour voir la ville et la tour
que les Enfants d'Adam avaient érigées.
Et il déclara : "regardez-bien,
ils ne font tous qu'un peuple d'une seule langue,
et cela n'est que le début de leurs efforts :
A présent quoi qu'ils projettent de faire
rien ne leur sera plus jamais impossible".
pour voir la ville et la tour
que les Enfants d'Adam avaient érigées.
Et il déclara : "regardez-bien,
ils ne font tous qu'un peuple d'une seule langue,
et cela n'est que le début de leurs efforts :
A présent quoi qu'ils projettent de faire
rien ne leur sera plus jamais impossible".
Et le Seigneur dit -à quelques collègues dont l'Ancien Testament ne révèle pas les noms :
"Venez, descendons
et une fois sur place, brouillons leurs langues ;
Qu'ils ne puissent plus se comprendre entre eux".
Et, de là le Seigneur les dispersa
sur la face de la terre entière
et ils cessèrent de construire la ville.
Ainsi, elle fut appelée Babel
car c'est que le Seigneur brouilla la langue de la Terre".
La traduction traditionnelle de "nom" pour "shem" a rendu ce récit inintelligible pendant de nombreuses générations. Pourquoi les anciens habitants de Babel (Babylonia) voulaient-il à tout prix "se faire un nom" ? Pourquoi ce "nom" devait-il être posé sur une tour dont le sommet atteindrait les Cieux ? Comment le fait de "se faire un nom" pourrait-il empêcher que l'humanité fût dispersée à la surface de la Terre ?
Si tout ce que désiraient ces gens était (comme l'expliquent les spécialistes) de se faire "une réputation" pourquoi cette tentative fâcha-t-elle tant le Seigneur ? Pourquoi l'élévation d'un nom était-elle considérée par Dieu comme un exploit tel que "plus rien ensuite ne leur serait impossible à faire" ?
Les explications traditionnelles ne suffisent pas à qui veut comprendre pourquoi le Seigneur jugea nécessaire de faire appel à d'autres divinités non identifiées pour descendre et mettre un terme à cette tentative humaine.
Nous pensons que les réponses à toutes ces questions deviennent plausibles, évidentes même, une fois que nous traduisons par "véhicule aérien" plutôt que par "nom", le mot "shem" qui est le terme employé dans l'hébreu original de la Bible. Il est donc bien question de l'inquiétude des hommes, une fois dispersés sur Terre, de perdre tout contact entre eux. Il décidèrent donc de construire un "véhicule aérien" et d'ériger une tour de lancement pour un tel véhicule afin de pouvoir, eux aussi, comme par exemple la déesse Ishtar survoler dans un "mou" "toutes les terres habitées"."
Naturellement, pour qui connaît l'histoire, il est aisé de comprendre que c'est bien Anu et/ou Enlil, grand Dieu des Néphilims et père d'Enki, qui se refusa(èrent) à voir les Humains devenir de plus en plus érudits et autonomes.
Effectivement, cette histoire se passe APRES le déluge, après qu'Enki, en désobéissant sciemment aux ordres, sauva l'Homme et de surcroît lui appris les sciences et l'ouvrit aux grandes Connaissances. C'en était trop pour Anu qui vint donc détruire en compagnie d'autres Annunakis, les projets et les espoirs humains.
Diviser pour régner.
L'homme, par son goût d'apprendre et de s'élever semblait bien dangereux à ces dieux qui pourtant, avaient 500000 ans d'avance sur nous ! Visiblement, Enki nous avait plutôt bien réussi.
Si l'Homme était demeuré auprès de son véritable père, Enki, fidèle et aimant, au lieu de succomber aux histoires grotesques et aux peurs infantiles des prêtres et religieux à la solde de dieux hostiles à l'humanité, il serait aujourd'hui l'équivalent d'un dieu car il tiendrait entre ses mains, avec toute la sagesse qu'Enki lui aurait insufflé, une technologie et une connaissance encore à ce jour impensable car, je le répète, toujours en avance de 500 000 ans.
et une fois sur place, brouillons leurs langues ;
Qu'ils ne puissent plus se comprendre entre eux".
Et, de là le Seigneur les dispersa
sur la face de la terre entière
et ils cessèrent de construire la ville.
Ainsi, elle fut appelée Babel
car c'est que le Seigneur brouilla la langue de la Terre".
La traduction traditionnelle de "nom" pour "shem" a rendu ce récit inintelligible pendant de nombreuses générations. Pourquoi les anciens habitants de Babel (Babylonia) voulaient-il à tout prix "se faire un nom" ? Pourquoi ce "nom" devait-il être posé sur une tour dont le sommet atteindrait les Cieux ? Comment le fait de "se faire un nom" pourrait-il empêcher que l'humanité fût dispersée à la surface de la Terre ?
Si tout ce que désiraient ces gens était (comme l'expliquent les spécialistes) de se faire "une réputation" pourquoi cette tentative fâcha-t-elle tant le Seigneur ? Pourquoi l'élévation d'un nom était-elle considérée par Dieu comme un exploit tel que "plus rien ensuite ne leur serait impossible à faire" ?
Les explications traditionnelles ne suffisent pas à qui veut comprendre pourquoi le Seigneur jugea nécessaire de faire appel à d'autres divinités non identifiées pour descendre et mettre un terme à cette tentative humaine.
Nous pensons que les réponses à toutes ces questions deviennent plausibles, évidentes même, une fois que nous traduisons par "véhicule aérien" plutôt que par "nom", le mot "shem" qui est le terme employé dans l'hébreu original de la Bible. Il est donc bien question de l'inquiétude des hommes, une fois dispersés sur Terre, de perdre tout contact entre eux. Il décidèrent donc de construire un "véhicule aérien" et d'ériger une tour de lancement pour un tel véhicule afin de pouvoir, eux aussi, comme par exemple la déesse Ishtar survoler dans un "mou" "toutes les terres habitées"."
Naturellement, pour qui connaît l'histoire, il est aisé de comprendre que c'est bien Anu et/ou Enlil, grand Dieu des Néphilims et père d'Enki, qui se refusa(èrent) à voir les Humains devenir de plus en plus érudits et autonomes.
Effectivement, cette histoire se passe APRES le déluge, après qu'Enki, en désobéissant sciemment aux ordres, sauva l'Homme et de surcroît lui appris les sciences et l'ouvrit aux grandes Connaissances. C'en était trop pour Anu qui vint donc détruire en compagnie d'autres Annunakis, les projets et les espoirs humains.
Diviser pour régner.
L'homme, par son goût d'apprendre et de s'élever semblait bien dangereux à ces dieux qui pourtant, avaient 500000 ans d'avance sur nous ! Visiblement, Enki nous avait plutôt bien réussi.
Si l'Homme était demeuré auprès de son véritable père, Enki, fidèle et aimant, au lieu de succomber aux histoires grotesques et aux peurs infantiles des prêtres et religieux à la solde de dieux hostiles à l'humanité, il serait aujourd'hui l'équivalent d'un dieu car il tiendrait entre ses mains, avec toute la sagesse qu'Enki lui aurait insufflé, une technologie et une connaissance encore à ce jour impensable car, je le répète, toujours en avance de 500 000 ans.
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Re: Les Néphilims
par Anaska Lun 15 Fév - 19:09
ENKI ET L'IMMORTALITÉ
L'âme, engendrée par le Dieu Cosmique, est déjà, par essence, immortelle. Les âmes des dieux Néphilims sont immortelles depuis toujours. De même pour nous aujourd'hui.
Car nous sommes à son image et à sa ressemblance.
Sur Nibiru, le temps s'écoule 3600 fois plus lentement que sur Terre. Les Anunnakis y vivaient des centaines de milliers d'années, jeunes et fringants. Mais sur Terre, il en est autrement.
(souvenez-vous : dans le Lost Book of Enki(Z. Sitchin - Bear and Co), Enki nous confie, en toute simplicité et avec son intégrité habituelle, que les Néphilims sur Terre, à l'époque de la Sumérie, avaient considérablement vieilli. Et leurs descendants plus vite encore. Quand Anu vint leur rendre visite, il les reconnut à peine et la manière dont Enki nous relate la scène ne laisse aucun doute sur cette réalité. Ninoursag elle-même, très belle auparavant, était devenue "méconnaissable, vieille et voûtée" ! La différence énorme de vitesse de rotation entre la Terre et Nibiru était donc la cause de ce vieillissement accéléré).
Comment, songea alors Enki, maintenir le corps en parfait état quasiment aussi longtemps que sur Nibiru, malgré la densité légère de la Terre (fort dense sur Nibiru) et sa vitesse folle de rotation ?
L'âme humaine s'incarne autant de fois qu'elle le souhaite dans des corps différents qu'elle "tisse" en fonction de "son plan de vie". Ainsi, s'incarnent-elles tantôt en homme tantôt en femme., blanc ou noir, handicapé ou athlétique, en Europe ou en Océanie... Bref, l'âme se fabrique un support pratique pour expérimenter de nouvelles aventures sur la planète Terre.
Mais la descente dans l'incarnation est lente et douloureuse. De plus, cela implique de "tout recommencer" à chaque fois : conception, vie foetale, naissance, maternelle, école, éducation, famille, fratrie...
Quel temps perdu pour l'âme humaine !
Le processus semble le même pour les Anunnakis, à la différence que leurs âmes s'installent dans le même corps physique pour des centaines de milliers d'années !
Mais Enki ne voulait pas de processus répétitif, de cycle infernal d'incarnation dans une matière terrestre si dangereuse par sa densité pour la Conscience.
Pas question de migrer d'un corps à l'autre, -à cette cadence !-, avec le risque toujours possible de "se perdre en route", d'oublier certaines mémoires, de les voir s'engouffrer dans les méandres marécageux du Temps.
(En effet, l'âme détermine un "plan de vie" avant de se réincarner. Elle laisse donc de côté certains aspects de l'être, certains dons, potentiels ou fautes, vécus en d'autres vies et dont la substance est acquise. Mais à force, des pans entiers sont perdus, en tous les cas pour la conscience ternaire qui descend, nous, corps de chair animé du souffle de vie. Comprenez bien : la densité est un voile terriblement lourd posé sur la mémoire de l'être. Elle se "dissout" peu à peu. L'être oublie qui il a été, ce qu'il a vécu et pourquoi. Plus les incarnations s'avèrent répétitives et accélérées, plus l'être oublie. Il descend donc "incomplet", avec une mission à réaliser, quelque chose à vivre de spécifique pour lui. Toute la différence avec les dieux est là qui demeurent conscients de leur vécu passé et ont une vision quasi illimitée de leurs vies depuis la première jusqu'aux suivantes : n'oubliez pas que pour eux, dans leur monde, tout se passe EN MÊME TEMPS. Un peu comme des vies parallèles, même si, là encore, l'amalgame n'est pas exactement juste. Mais enfin, cela peut aider notre mental. Prenons un exemple : vous menez une petite vie tranquille (on appelle cela des vies transitoires). Vous êtes un bon pianiste mais votre activité professionnelle est l'informatique. Vous tapez certes toujours sur un clavier, mais le son émis n'est certes pas le même ! Si pendant 40 ans vous ne tapiez plus que sur le clavier de l'ordinateur sans plus jamais avoir le temps de jouer du piano, vous finiriez par perdre votre dextérité, par oublier vos partitions, et ne même plus savoir où vous les avez rangées ! A bout, vous vendriez votre piano. Un jour, quelqu'un vous rencontre et vous rappelle votre don de musicien. Vous aurez l'impression qu'il parle de quelqu'un d'autre. Comme d'une autre vie. Tout cela est si loin, n'est-ce pas ? Quelqu'un qui vous ressemblait, 40 ans en arrière, avait le temps de jouer... mais que s'est-il passé ? La vie, le stress, les obligations du quotidien...
Replacez alors cet exemple dans le contexte de l'âme qui dans 2000 ans dira: ah oui, cette vie si ancienne en France, qu'est-ce que j'y faisais au fait... L'âme retrouvera bien sûr l'information, mais pas d'emblée. Ce sont les vies les plus intenses, les plus essentielles, les plus "choquantes en bien ou en mal" qui demeurent à la mémoire de l'âme en premier. Et nous, "en bas", en gardons mémoire aussi par nos acquis, nos dons innés, nos réactions "viscérales", mais nous ne savons plus à quelle expérience ancienne, ce don, cette réaction sont dus ni pourquoi).
Pour Enki, donc, il fallait aux Néphilims des corps durables, sains et puissants, comme ils en avaient l'habitude. Et qu'ils puissent en changer dès que le corps donnait des signes de fatigue, tout en demeurant conscients de leur totalité, fidèles à eux-mêmes, et adultes !
(Un peu comme si dans notre penderie un "tas de corps sains et jeunes nous attendaient" ! Eh oui, pourquoi pas ? Le corps est un vêtement de chair, c'est le souffle de l'esprit qui l'anime ! Par lui-même il est enveloppe vide, véhicule inerte ! Et notez qu'il n'existe pas chez les dieux de "junk DNA" ou encore "ADN poubelle" !!!)
Alors, Enki a inventé le clonage.
Oui, le corps est cloné. Enki a réalisé ce miracle de la génétique des milliers d'années en arrière alors que nous commençons à peine à l'aborder, nous, humains ! Mais nous y venons !
Les corps alors fabriqués correspondaient parfaitement à l'âme, à son souhait, à son chant vibratoire, performant, déjà ouvert aux "travaux occultes, aux capacités psychiques, aux pouvoirs de l'esprit" : plus gros cerveau, mieux "aménagé"...
Oui, les Néphilims ont changé de corps au début de la civilisation égyptienne.
Naturellement, les Néphilims sont peu nombreux par rapport aux 6 milliards et demi que nous sommes. Et ceci est aisé pour eux.
Enki, dieu des dieux en Génétique (entre autres), est un génie scientifique reconnu de tous. Nul ne l'égale.
Il a réalisé ce qu'aucun savant sur Nibiru n'étaient parvenu à créer : une race. La race humaine.
Mais le talent s'avère inutile si l'audace manque à le soutenir.
Or, de l'audace, Enki en possède jusqu'à en napper les étoiles !
Quand il comprit que son séjour sur Terre s'étendrait bien au-delà de toute prévision, il décida de "rendre la chair immortelle".
Exactement comme il avait osé "améliorer" l'homo erectus en homo sapiens, puis osé féconder, par sa propre semence, l'homo sapiens-sapiens.
Mais, au fait, si le souffle de l'esprit anime le corps, peut-on également "cloner l'âme" ?
Bien sûr que non !
Là intervient le génie d'Enki et l'incroyable potentiel de l'eau.
L'eau qui nous habite contient tout ce que nous sommes. Dans ses molécules, vibre tout notre Adn.
Ce que nous sommes aujourd'hui, certes, mais également l'héritage de nos ancêtres. Non pas seulement physiologique, mais psychologique, mais animique.
LA mémoire, LA conscience vivante, constante, alerte.
Souvenez-vous de la citation de Thot placée en exergue en début de message :
"Ce n'est pas le fait de naître qui est la vie mais la conscience"
Une conscience qui distingue des autres règnes.
Nous pensons. Nous sommes conscients. Nous percevons, analysons, sentons...
LA conscience de tout ce qui est en nous et autour de nous.
TOUT est conscience, encore faut-il le réaliser.
Notre corps, temple sacré de cette Conscience, devient à son tour conscient de lui-même. L'EGO affirme alors ses besoins, fait connaitre ses ressentis, évolue et s'élève vers l'univers supralumineux.
Le corps, l'égo (la personnalité), le mental forment la trinité de notre être que l'on nomme Pierre, Jocelyne...
L'âme, la Conscience Supérieure, si vous préférez, "possède" cette trinité, la guide, la rend intelligente, autonome, forte.
(notez cependant qu'il existe des âmes plus jeunes que d'autres et donc moins développées ou aptes à garder la trinité incarnée sur son chemin de vie. D'où l'importance d'un guide anunnaki, non seulement plus élevé que la trinité humaine mais plus avancé aussi que son âme, eh oui).
Tout ceci s'inscrit dans la mémoire cellulaire du corps. Organes, muscles, tissus, fascias, viscères... tous s'imprègnent profondément des "messages de l'âme".
De même que la création de la race humaine (première vague sapiens) se réalisa en mélangeant Adn homo erectus et Adn d'Enki et Thot dans un récipient de glaise,
de même pour les Dieux, il "suffit" de mélanger une molécule d'eau spécifique, extraite d'une plante spécifique, à l'Adn des dieux pour que l'eau absorbe le message d'immortalité.
L'information se transmettra alors de générations en générations anunnakies. Mais, du fait des conditions particulières de la Terre, cette opération doit être renouvelée tous les quelques milliers d'années. Beaucoup moins quand ils séjournent ailleurs dans le système solaire.
Naturellement, lors de la toute première manipulation, Enki a entré dans la première molécule d'eau-mère, l'Adn pur Néphilim, le sien, grand dieu primordial.
Une autre molécule d'eau-mère a été également programmée avec l'Adn d'un autre grand dieu primordial, Enlil, dont l'incroyable puissance physique et la pureté de sa génétique est une bénédiction.
(ci-dessous, molécule d'eau gelée).
Mais attention, il s'agit bien ici de l'immortalité de la chair imprégnée d'une eau sacrée, élixir de vie, qui contient la mémoire de l'âme, un peu comme une carte d'identité génético-animique. Cette mémoire permet la régénération constante du véhicule. Et cette régénération constante du véhicule est toujours amplifiée et facilitée par les montées successives de Kundalini. Voilà que la boucle est bouclée.
(c'est pourquoi un humain qui travaille consciemment sur sa kundalini avec les Néphilims est certain d'obtenir un rajeunissement cellulaire réel).
Un point important :
Les Néphilims peuvent "ressusciter les morts" tant que l'âme demeure accrochée au corps par la corde d'argent. Tout est possible alors, parce que le souffle de vie continue de nourrir le corps et d'oxygéner les organes vitaux. C'est pourquoi Thot put ramener Horus d'entre les morts. L'âme était restée liée au corps physique.
Mais si par choix ou pour quelque raison que ce soit, la corde d'argent se rompt, il est alors impossible de faire revivre le corps, parce que le souffle vital (animique, divin) s'en est retiré.
Voilà pourquoi certains reviennent à la vie et d'autres non. L'âme a libre-arbitre en ce domaine. L'âme créera un autre corps pour revivre dans notre monde.
Source:net
L'âme, engendrée par le Dieu Cosmique, est déjà, par essence, immortelle. Les âmes des dieux Néphilims sont immortelles depuis toujours. De même pour nous aujourd'hui.
Quand Enki nous a créés, il a installé en nous cette infinité.
C'est à lui que nous devons ce prolongement éternel de l'Esprit qui fait de nous des dieux en devenir.
C'est à lui que nous devons ce prolongement éternel de l'Esprit qui fait de nous des dieux en devenir.
Car nous sommes à son image et à sa ressemblance.
Sur Nibiru, le temps s'écoule 3600 fois plus lentement que sur Terre. Les Anunnakis y vivaient des centaines de milliers d'années, jeunes et fringants. Mais sur Terre, il en est autrement.
(souvenez-vous : dans le Lost Book of Enki(Z. Sitchin - Bear and Co), Enki nous confie, en toute simplicité et avec son intégrité habituelle, que les Néphilims sur Terre, à l'époque de la Sumérie, avaient considérablement vieilli. Et leurs descendants plus vite encore. Quand Anu vint leur rendre visite, il les reconnut à peine et la manière dont Enki nous relate la scène ne laisse aucun doute sur cette réalité. Ninoursag elle-même, très belle auparavant, était devenue "méconnaissable, vieille et voûtée" ! La différence énorme de vitesse de rotation entre la Terre et Nibiru était donc la cause de ce vieillissement accéléré).
Comment, songea alors Enki, maintenir le corps en parfait état quasiment aussi longtemps que sur Nibiru, malgré la densité légère de la Terre (fort dense sur Nibiru) et sa vitesse folle de rotation ?
L'âme humaine s'incarne autant de fois qu'elle le souhaite dans des corps différents qu'elle "tisse" en fonction de "son plan de vie". Ainsi, s'incarnent-elles tantôt en homme tantôt en femme., blanc ou noir, handicapé ou athlétique, en Europe ou en Océanie... Bref, l'âme se fabrique un support pratique pour expérimenter de nouvelles aventures sur la planète Terre.
Mais la descente dans l'incarnation est lente et douloureuse. De plus, cela implique de "tout recommencer" à chaque fois : conception, vie foetale, naissance, maternelle, école, éducation, famille, fratrie...
Quel temps perdu pour l'âme humaine !
Le processus semble le même pour les Anunnakis, à la différence que leurs âmes s'installent dans le même corps physique pour des centaines de milliers d'années !
Mais Enki ne voulait pas de processus répétitif, de cycle infernal d'incarnation dans une matière terrestre si dangereuse par sa densité pour la Conscience.
Pas question de migrer d'un corps à l'autre, -à cette cadence !-, avec le risque toujours possible de "se perdre en route", d'oublier certaines mémoires, de les voir s'engouffrer dans les méandres marécageux du Temps.
(En effet, l'âme détermine un "plan de vie" avant de se réincarner. Elle laisse donc de côté certains aspects de l'être, certains dons, potentiels ou fautes, vécus en d'autres vies et dont la substance est acquise. Mais à force, des pans entiers sont perdus, en tous les cas pour la conscience ternaire qui descend, nous, corps de chair animé du souffle de vie. Comprenez bien : la densité est un voile terriblement lourd posé sur la mémoire de l'être. Elle se "dissout" peu à peu. L'être oublie qui il a été, ce qu'il a vécu et pourquoi. Plus les incarnations s'avèrent répétitives et accélérées, plus l'être oublie. Il descend donc "incomplet", avec une mission à réaliser, quelque chose à vivre de spécifique pour lui. Toute la différence avec les dieux est là qui demeurent conscients de leur vécu passé et ont une vision quasi illimitée de leurs vies depuis la première jusqu'aux suivantes : n'oubliez pas que pour eux, dans leur monde, tout se passe EN MÊME TEMPS. Un peu comme des vies parallèles, même si, là encore, l'amalgame n'est pas exactement juste. Mais enfin, cela peut aider notre mental. Prenons un exemple : vous menez une petite vie tranquille (on appelle cela des vies transitoires). Vous êtes un bon pianiste mais votre activité professionnelle est l'informatique. Vous tapez certes toujours sur un clavier, mais le son émis n'est certes pas le même ! Si pendant 40 ans vous ne tapiez plus que sur le clavier de l'ordinateur sans plus jamais avoir le temps de jouer du piano, vous finiriez par perdre votre dextérité, par oublier vos partitions, et ne même plus savoir où vous les avez rangées ! A bout, vous vendriez votre piano. Un jour, quelqu'un vous rencontre et vous rappelle votre don de musicien. Vous aurez l'impression qu'il parle de quelqu'un d'autre. Comme d'une autre vie. Tout cela est si loin, n'est-ce pas ? Quelqu'un qui vous ressemblait, 40 ans en arrière, avait le temps de jouer... mais que s'est-il passé ? La vie, le stress, les obligations du quotidien...
Replacez alors cet exemple dans le contexte de l'âme qui dans 2000 ans dira: ah oui, cette vie si ancienne en France, qu'est-ce que j'y faisais au fait... L'âme retrouvera bien sûr l'information, mais pas d'emblée. Ce sont les vies les plus intenses, les plus essentielles, les plus "choquantes en bien ou en mal" qui demeurent à la mémoire de l'âme en premier. Et nous, "en bas", en gardons mémoire aussi par nos acquis, nos dons innés, nos réactions "viscérales", mais nous ne savons plus à quelle expérience ancienne, ce don, cette réaction sont dus ni pourquoi).
Pour Enki, donc, il fallait aux Néphilims des corps durables, sains et puissants, comme ils en avaient l'habitude. Et qu'ils puissent en changer dès que le corps donnait des signes de fatigue, tout en demeurant conscients de leur totalité, fidèles à eux-mêmes, et adultes !
(Un peu comme si dans notre penderie un "tas de corps sains et jeunes nous attendaient" ! Eh oui, pourquoi pas ? Le corps est un vêtement de chair, c'est le souffle de l'esprit qui l'anime ! Par lui-même il est enveloppe vide, véhicule inerte ! Et notez qu'il n'existe pas chez les dieux de "junk DNA" ou encore "ADN poubelle" !!!)
Alors, Enki a inventé le clonage.
Oui, le corps est cloné. Enki a réalisé ce miracle de la génétique des milliers d'années en arrière alors que nous commençons à peine à l'aborder, nous, humains ! Mais nous y venons !
Les corps alors fabriqués correspondaient parfaitement à l'âme, à son souhait, à son chant vibratoire, performant, déjà ouvert aux "travaux occultes, aux capacités psychiques, aux pouvoirs de l'esprit" : plus gros cerveau, mieux "aménagé"...
Oui, les Néphilims ont changé de corps au début de la civilisation égyptienne.
Naturellement, les Néphilims sont peu nombreux par rapport aux 6 milliards et demi que nous sommes. Et ceci est aisé pour eux.
Enki, dieu des dieux en Génétique (entre autres), est un génie scientifique reconnu de tous. Nul ne l'égale.
Il a réalisé ce qu'aucun savant sur Nibiru n'étaient parvenu à créer : une race. La race humaine.
Mais le talent s'avère inutile si l'audace manque à le soutenir.
Or, de l'audace, Enki en possède jusqu'à en napper les étoiles !
Quand il comprit que son séjour sur Terre s'étendrait bien au-delà de toute prévision, il décida de "rendre la chair immortelle".
Exactement comme il avait osé "améliorer" l'homo erectus en homo sapiens, puis osé féconder, par sa propre semence, l'homo sapiens-sapiens.
Mais, au fait, si le souffle de l'esprit anime le corps, peut-on également "cloner l'âme" ?
Bien sûr que non !
Là intervient le génie d'Enki et l'incroyable potentiel de l'eau.
L'eau qui nous habite contient tout ce que nous sommes. Dans ses molécules, vibre tout notre Adn.
Ce que nous sommes aujourd'hui, certes, mais également l'héritage de nos ancêtres. Non pas seulement physiologique, mais psychologique, mais animique.
LA mémoire, LA conscience vivante, constante, alerte.
Souvenez-vous de la citation de Thot placée en exergue en début de message :
"Ce n'est pas le fait de naître qui est la vie mais la conscience"
Une conscience qui distingue des autres règnes.
Nous pensons. Nous sommes conscients. Nous percevons, analysons, sentons...
LA conscience de tout ce qui est en nous et autour de nous.
TOUT est conscience, encore faut-il le réaliser.
Notre corps, temple sacré de cette Conscience, devient à son tour conscient de lui-même. L'EGO affirme alors ses besoins, fait connaitre ses ressentis, évolue et s'élève vers l'univers supralumineux.
Le corps, l'égo (la personnalité), le mental forment la trinité de notre être que l'on nomme Pierre, Jocelyne...
L'âme, la Conscience Supérieure, si vous préférez, "possède" cette trinité, la guide, la rend intelligente, autonome, forte.
(notez cependant qu'il existe des âmes plus jeunes que d'autres et donc moins développées ou aptes à garder la trinité incarnée sur son chemin de vie. D'où l'importance d'un guide anunnaki, non seulement plus élevé que la trinité humaine mais plus avancé aussi que son âme, eh oui).
Tout ceci s'inscrit dans la mémoire cellulaire du corps. Organes, muscles, tissus, fascias, viscères... tous s'imprègnent profondément des "messages de l'âme".
De même que la création de la race humaine (première vague sapiens) se réalisa en mélangeant Adn homo erectus et Adn d'Enki et Thot dans un récipient de glaise,
de même pour les Dieux, il "suffit" de mélanger une molécule d'eau spécifique, extraite d'une plante spécifique, à l'Adn des dieux pour que l'eau absorbe le message d'immortalité.
L'information se transmettra alors de générations en générations anunnakies. Mais, du fait des conditions particulières de la Terre, cette opération doit être renouvelée tous les quelques milliers d'années. Beaucoup moins quand ils séjournent ailleurs dans le système solaire.
Naturellement, lors de la toute première manipulation, Enki a entré dans la première molécule d'eau-mère, l'Adn pur Néphilim, le sien, grand dieu primordial.
Une autre molécule d'eau-mère a été également programmée avec l'Adn d'un autre grand dieu primordial, Enlil, dont l'incroyable puissance physique et la pureté de sa génétique est une bénédiction.
(ci-dessous, molécule d'eau gelée).
Mais attention, il s'agit bien ici de l'immortalité de la chair imprégnée d'une eau sacrée, élixir de vie, qui contient la mémoire de l'âme, un peu comme une carte d'identité génético-animique. Cette mémoire permet la régénération constante du véhicule. Et cette régénération constante du véhicule est toujours amplifiée et facilitée par les montées successives de Kundalini. Voilà que la boucle est bouclée.
(c'est pourquoi un humain qui travaille consciemment sur sa kundalini avec les Néphilims est certain d'obtenir un rajeunissement cellulaire réel).
Un point important :
Les Néphilims peuvent "ressusciter les morts" tant que l'âme demeure accrochée au corps par la corde d'argent. Tout est possible alors, parce que le souffle de vie continue de nourrir le corps et d'oxygéner les organes vitaux. C'est pourquoi Thot put ramener Horus d'entre les morts. L'âme était restée liée au corps physique.
Mais si par choix ou pour quelque raison que ce soit, la corde d'argent se rompt, il est alors impossible de faire revivre le corps, parce que le souffle vital (animique, divin) s'en est retiré.
Voilà pourquoi certains reviennent à la vie et d'autres non. L'âme a libre-arbitre en ce domaine. L'âme créera un autre corps pour revivre dans notre monde.
Source:net
Anaska- Admin
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Re: Les Néphilims
par qualine Mar 2 Mar - 13:57
wouaouh !!!!
en lisant cela , j'avais l'impression de vivre dans un film de 4ième dimension !!!
je ne connaissais pas du tout !!
j'en apprends des choses ici !!!
merci Anaska !!!
en lisant cela , j'avais l'impression de vivre dans un film de 4ième dimension !!!
je ne connaissais pas du tout !!
j'en apprends des choses ici !!!
merci Anaska !!!
qualine- Messages : 34
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Re: Les Néphilims
par Anaska Mar 2 Mar - 21:51
Avec plaisir , j'ai etait absente pendant quelque jours , je vais revenir en force , attention lol me revoilà!
Anaska- Admin
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Re: Les Néphilims
par qualine Mar 2 Mar - 23:46
y a intérêt ma belle !!
car tes articles sont supers intéressants !!!
je ne me lasse pas !!!
car tes articles sont supers intéressants !!!
je ne me lasse pas !!!
qualine- Messages : 34
Date d'inscription : 31/01/2010
Age : 48
Localisation : moulins
Re: Les Néphilims
par Alephias Mar 15 Fév - 22:01
Je me permet de réagir, critiquer pour critiquer n'apporte rien de bon, aussi je te laisse un lien qui je l'espère te permettras d'éclaircir certains points (que tu as tenté d'exposés sur ce sujet) me paraissant très brouillons :
Sinon, j'ai bien aimé les sources, cela donne de la crédibilité ...
Cordialement
Sinon, j'ai bien aimé les sources, cela donne de la crédibilité ...
Cordialement
Alephias- Invité
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